Section PCF RATP

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Assemblée du 19 octobre 2018 - Rapport introductif

Chers camarades,

Pour les communistes, l’actualité c’est le Congrès Extraordinaire de novembre. Je vais y consacrer une bonne partie de ce rapport mais je vais au préalable aborder plusieurs autres sujets qui nous concernent également.

 

Au niveau international tout d’abord où l’on constate, dans la continuité des mois précédents, une exacerbation des tensions entre puissances et super-puissances sur fond de guerre économique. Le raidissement des relations internationales entre divers pays, les uns producteurs de matières premières, les autres consommateurs, est très net et cache en partie une lutte de survie pour les pays les plus engagés dans l’idéologie capitaliste.

L’économie américaine, mise en péril par les dogmes libéraux, traverse une période compliquée. Le libéralisme est aujourd’hui incapable de redresser la situation qu’il a provoquée du fait notamment de la financiarisation de l’économie et de la recherche de taux de profits faramineux qui ont détruit l’économie réelle et provoqué des bulles économiques.

Avoir une mainmise ou au moins des possibilités de pression accrues sur l’Iran, l’Arabie Saoudite, le Venezuela ou la Russie, pays producteurs de pétrole et de gaz, est un bon moyen pour l’économie américaine de trouver à l’extérieur du pays un levier de croissance qu’elle n’a plus en interne.

Peu importe la volonté des peuples de ces pays ou même « l’équilibre des marchés », soi-disant fondamental pour les libéraux, l’important c’est « l’America First » si cher à Trump.

 

En Europe également, la crise ayant laissé des traces profondes, les populations de nombreux pays européens sont tentées par ce type de solutions, à la fois autoritaires et d’enfermement national. Les extrêmes droites pèsent de plus en plus et les replis identitaires se multiplient.

Tant pis s’il faut écraser les autres, quels qu’ils soient, la lutte pour la survie individuelle ou nationale prime avant tout.

La jungle libérale, où il fallait laisser chacun faire ce qu’il veut en période d’opulence, devient logiquement un véritable jeu de massacre en période de famine. Les forts chassent les faibles dans toutes les sphères et à tous les niveaux et s’arrangent pour qu’ils ne s’entraident surtout pas pour ne pas mettre en péril leur domination.

 

Ces logiques et ces mécaniques, entretenues par certains médias (BFMTV ou Le Point en tête), servent évidemment les intérêts des plus puissants qui s’enrichissent plus encore aujourd’hui qu’avant la crise.

 

En France, la mise en place de l’austérité au profit des bénéfices privés se poursuit et le chamboule-tout de réformes de Macron, qui a pour but de liquider tous les acquis des classes laborieuses passe maintenant par les retraites.

Une énième réforme est à l’horizon mais cette fois avec un profond changement : contrairement à ce qu’annonçaient Chirac, Sarkozy ou Hollande, cette réforme n’aura pas pour but de « sauver » le système de retraite actuel, mais bien de le liquider au profit d’une retraite par points inspirée du système bancaire privé américain et qui aura pour conséquence immédiate une plus grande disparité des situations fasse à la retraite, une baisse mécanique des pensions et une incertitude sur leur montant.

Il s’agit d’une contre-révolution complète dans ce domaine, qui obligera celles et ceux qui veulent des pensions décentes à recourir à des placements bancaires complémentaires durant leur vie active. C’est encore une fois un moyen de nourrir les appétits des grandes banques et assurances et d’alimenter la spéculation.

Dans ce cadre, et parce que, comme je le disais, il s’agit d’une réforme d’un nouveau type, un large travail d’explication doit avoir lieu autour de nous, dans notre entreprise, chez nos proches, etc…

A ce titre, « le livret Retraites » édité par notre section et d’une grande qualité est un outil précieux. Tous les retours en sont positifs et des personnes qui ne sont pas membres de la section souhaitent en avoir et en diffuser autour d’elles. Un retirage de nouveaux exemplaires est en cours. N’hésitons donc pas à le diffuser auprès des camarades des syndicats, de nos collègues et de nos proches.

 

Pour ce qui concerne plus directement notre secteur, la loi LOM sur les mobilités et le transport, préparée en accord avec l’actuelle direction RATP, compte également chambouler complétement le paysage.

Cette loi est en effet l'instrument du démantèlement progressif de l'EPIC et du Statut du personnel :

  • Nous avons décrypté depuis plusieurs mois la stratégie du gouvernement concernant la RATP : une privatisation progressive par la filialisation des activités, y compris d'exploitation et de maintenance. La loi LOM vise à compléter ce dispositif en autorisant la RATP à créer des filiales sur son territoire historique en Ile-de-France pour exploiter les nouvelles dessertes (le T9, le T10, les lignes de métro du Grand Paris) et les parties du réseau qu'elle conservera au fur et à mesure de l'ouverture des différents modes à la concurrence. A terme, tout le réseau francilien sera donc géré par des entreprises privées, soit des filiales de la RATP, soit d'autres groupes. Et l'EPIC sera vidé de sa substance, à commencer par les 17000 agents de BUS et MRB appelés à le quitter en 2025.

  • L'autre volet de la loi qui nous concerne portre sur les conditions sociales de l'ouverture à la concurrence. Le texte prévoit un transfert obligatoire des personnels en cas de changement d'opérateur et le rattachement des agents de BUS et MRB à la Convention collective du transport urbain tout en précisant que des conditions de travail particulières seront définies par décret sur les départements de la petite couronne. Les agents transférés, que ce soit dans d'autres sociétés ou dans des filiales de la RATP, perdraient son Statut au profit d'un « sac à dos social » minimaliste. Ainsi, le Statut du personnel est appelé à s'éteindre au même rythme que l'EPIC se rabougrira.

 

A cela, il faut ajouter l'accélération partout sensible du plan de productivité (avec notamment le projet Diapason), présentée comme la condition de la « compétitivité » et qui participe du même processus de transformation de la RATP en entreprise capitaliste « comme les autres ».

Il s'agit donc d'une attaque sans précédent, face à laquelle il nous faut bien identifier les différents terrains de lutte :

  • D'une part il y a l'absolue nécessité de continuer à dénoncer la logique libérale d'ouverture à la concurrence du Service public. La campagne des élections européennes doit être pour nous l'occasion de réaffirmer nos positions pour sortir les services publics de l'emprise du marché et promouvoir l'entreprise public comme réponse moderne aux besoins.

  • Mais il faut aussi sans attendre nous mobiliser contre le dumping social. La journée d'étude tenue par notre section début 2015 avait identifié cet enjeu et mis en avant deux propositions : la création d'un Statut unifié des salariés du transport public inspiré de celui des personnels de la RATP, et un Socle social harmonisé par le haut pour imposer partout les 32 heures. Ces idées ont fait leur chemin et sont aujourd'hui reprises et portées par une partie du mouvement syndical à la RATP. La discussion parlementaire à venir sur la loi LOM (prévue vers mars 2019) va être l'occasion de les défendre, comme l'a mentionné notre camarade sénatrice Eliane Assassi dans le dernier « Ca roule ».

Le Comité de Section vous propose d’ailleurs qu'un prochain « Ca Roule » revienne sur tous ces sujets : bataille contre la logique de concurrence en lien avec l'enjeu du vote du 26 mai, loi LOM et bataille contre le dumping social.

 

L’exemple de la ligne 6 est intéressant sur les logiques à l'oeuvre, mais aussi sur les moyens de les arrêter. Les camarades du syndicat CGT Ferré apprennent qu’un projet d’expérimentation de stations sans agent va avoir lieu, avec bien sûr l’objectif de l’étendre petit à petit à tout le réseau. Ils décident d’interpeller nos élus au Conseil de Paris et à IDFM sur ce sujet. Un vœu est rapidement voté à la Maire de Paris à l’unanimité des forces politiques, demandant à la RATP de maintenir une présence d’agents en station et en gare sur toute la durée du service. Idem à IDFM, unanimité sur un vœu qui somme la RATP de donner des explications et insiste sur l'importance de la présence humaine dans le métro et le RER. Nous avons diffusé un tract de la section aux personnels du ferré, et, avec les sections locales concernées, un tract aux usagers les informant sur ce qui se trame et sur l'intervention de nos élus. La direction n'a pas encore renoncé à son projet, mais celui-ci est très fragilisé. Une victoire significative est possible.

Cette expérience est intéressante à analyser, y compris dans le cadre de la réflexion sur notre Congrès (j’y viens juste après), et notamment sur le rôle des sections d’entreprise : Face à une direction bornée, la seule mobilisation des personnels et du syndicat rencontrait ses limites. Nos élus et les sections locales, s’ils n’avaient pas été saisis du dossier n’en auraient jamais eu connaissance, ou trop tard en tout cas pour pouvoir faire quoi que ce soit. Notre section seule n’aurait pas non plus pu faire grand-chose. C’est donc bien le quadriptique « syndicat – section d’entreprise – élus – sections locales » qui a permis une mobilisation complète et efficace et qui met en grande difficulté la direction. C’est une chose à se dire et à analyser, non pas comme un modèle d’action à copier-coller pour chaque mobilisation, mais comme une des missions à avoir en tête d’appui aux luttes et de facilitateur des échanges Parti-Syndicat-Elus dans le respect de tous.

 

J’en viens maintenant au Congrès.

Comme vous le savez, les communistes ont voté le week-end passé pour le texte qui servira de Base Commune et c’est le texte 3 qui l’a emporté, d’une courte avance sur le texte 1. Les 2 autres textes font moins de 20% à eux deux.

Nous entrons donc maintenant dans la phase suivante de notre Congrès, celle de la modification de la Base Commune et des candidatures aux diverses responsabilité du Parti.

 

Avant de parler de ces deux sujets, quelques mots sur l’esprit général dans le Parti et les dynamiques à l’œuvre : j’en ai déjà parlé rapidement dans le mail de convocation de cette Assemblée Générale, mais je vais développer un petit peu et vous livrer pêle-mêle divers éléments de réflexion pour que tous les camarades aient bien à l’idée le rôle et les attentes autour de ce Congrès.

 

Comme je le disais dans le mail, les quelques médias qui ont parlé de notre Congrès, ou plutôt exclusivement du vote sur les textes, l’ont fait de manière très superflue et sans entrer en profondeur dans l’analyse. On a pu lire que le résultat du vote était une « fronde » contre Pierre Laurent, que le Parti était irrémédiablement divisé, qu’aucune majorité n’émergeait, ouvrant la porte à « l’ingouvernabilité » (terme très à la mode chez nos élites), voire aux scissions. C’est soit mal connaitre le fonctionnement de notre Parti, soit être délibérément malhonnête. A leur décharge, ils ont plus l’habitude de suivre des partis où, à l’inverse du nôtre, les discussions cachent en réalité des débats de personnes plus que d’orientation politique.

Pour ce qui est de notre Parti, les votes se sont bien déroulés, ont réuni un nombre d’adhérents stable par rapport aux précédentes consultations et ont suscité très peu de contestations. Elsa Faucillon, signataire du texte 2, a salué dès le soir des résultats la qualité de l’écoute du débat des communistes.

Dans de très nombreux débats, on a pu entendre des camarades de tous les textes dire que le texte pour lequel ils pensaient voter n’était pas parfait, et que s’il était adopté, il faudrait l’amender et que cela nécessiterait l’implication de tous les communistes.

Pour ce que je connais, à la Fédération de Paris, personne n’a rendu sa carte dans un mouvement d’humeur, comme ça avait pu être le cas sur de précédents votes (comme ceux des Municipales ou sur les choix de candidats aux présidentielles).

Aucun travail de direction, de collectif ou des travaux du Congrès n'est bloqué pour des raisons de mésentente politique ou de rancœur suite au vote.

Nous sommes donc bien loin de la vision de guerre civile véhiculée par les médias et notre Congrès se poursuit dans un climat très apaisé.

 

Concernant la direction et Pierre Laurent, n’en déplaise à ces médias, ce n’est pas l’Alpha et l’Oméga du Congrès : on peut trouver des votants du texte 1 qui demandent à ce qu’il passe la main ; à l’inverse il existe des camarades ayant choisi le texte 3 qui ne jugent pas incompatible qu’il reste en responsabilité dès lors que l’analyse et le bilan sur le travail des directions sont correctement faits.

Concernant le fond des idées et les « majorités » ou les « équilibres » dans le Parti, beaucoup de camarades ont hésité entre le texte 1 et le texte 3. Ils ne sont d’ailleurs pas si incompatibles et je pense que les camarades qui ont voté pour le texte 1 n’auront dans leur grande majorité aucun problème à travailler avec le texte 3.

Dans notre section, le taux de participation est élevé, le texte 3 arrive massivement en tête, mais tous les textes ont reçu des votes et notre nombre d’adhérents nous place comme étant la 2ème plus grosse section parisienne derrière le 20e arrondissement. C’est à avoir en tête, notamment pour notre apport au travail fédéral.

 

Voilà quelques éléments que je pense nécessaire de connaître et j’ajouterai seulement un mot pour que vous preniez bien conscience du climat dans le Parti : Pour moi, tel que je le ressens, ce vote a ouvert des possibles. Beaucoup de camarades questionnaient des choix nationaux sur la communication, les stratégies d’alliance, notre efficacité dans certains domaines, etc…, sans avoir l’impression d’être écoutés, ni même entendus.

 

Depuis quelques mois, on rediscute dans notre Parti de sujets dont on ne parlait plus et on rediscute y compris de thèmes de fond, on recommence à analyser, à produire et à créer.

Il n’y a qu’à voir le grand écart entre le texte 2 et le texte 4 et toutes les questions abordées dans les 4 textes et dans les assemblées préparatoires : formes d’organisation, travail des directions, formation, bilan de l’URSS, communication, marxisme, sections d’entreprises, socialisme, communisme… autant de sujets dont on ne parlait plus ou presque plus, mais autour desquels il y avait des attentes et que le Congrès aura permis de remettre en avant.

Cette « libération de la parole » est un signe positif, car son absence n’était pas la conséquence d’une interdiction de parler, mais tout simplement et dans un certain sens c’est pire, d’un manque de créativité, de réflexion, de volonté d’y croire et d’envie.

Suite au vote, certaines sections enregistrent d’ailleurs déjà des ré-adhésions de camarades qui avaient rendu leur carte dans les années Hue ou après, car ils pensaient impossible que le Parti revienne pleinement sur les rails de la lutte de classes et qui sentent aujourd’hui que le moment est venu d'y reprendre leur place.

Il y a comme un frémissement dans le Parti et une ré-implication de certains camarades que l’on voyait moins.

Tout peut être discuté car nous sommes au carrefour de divers chemins et de divers avenirs possibles pour le Parti.

Voilà le contexte externe et interne à notre Parti et c’est pourquoi l’implication d’un maximum de camarades dans les choix à venir est nécessaire.

 

Pour ce qui concerne le texte de Base Commune en lui-même, l’ancien texte 3 donc, et les travaux du Congrès je vous livre quelques éléments :

  • La commission nationale du texte, au vu de cet élan créatif dans le Parti, a lancé un appel à contributions, en plus des amendements formels sur le texte pour aider à définir les grandes orientations du Congrès.

  • Comme je le disais, beaucoup de camarades, y compris ayant voté pour ce texte, veulent l’amender. Cela va donc nécessiter que tout le monde ait bien pris connaissance de la Base Commune et réfléchisse à ce qu’il veut y voir figurer ou ne plus y voir figurer pour pouvoir participer pleinement au travail du Congrès de section.

  • Les éléments forts de la Base Commune sont sa volonté de retour des communistes à l’entreprise ou de faire mieux travailler nos directions, la bataille qu’elle propose de mener face à la finance, la place qu’elle veut donner au monde du travail dans nos programmes/propositions, le retour à un corps d’analyse marxiste, la réaffirmation de notre Parti par la présentation de candidats communistes. A l’inverse, certains camarades la trouvent un peu courte sur les questions internationales ou de dominations transversales, sur nos politiques d’alliances électorales ou sur la prise en compte de nouvelles formes de lutte. Autant de sujets à discuter et à débattre.

  • Notre Congrès de section se tiendra le 9 Novembre sur la journée ici-même et se conclura par un repas fraternel. Je vous invite à bloquer la date dès maintenant si ce n’est pas déjà fait.

  • Notre Fédération tiendra son Congrès départemental ici également le week-end suivant, les samedi 17 et dimanche 18 Novembre, et que le Congrès National aura lieu le week-end suivant, du 23 au 25 Novembre à Ivry.

  • Dans le cadre de notre Congrès de section, deux commissions sont à désigner, celle sur le Texte et celle sur les Candidatures. Le Comité de Section vous propose de désigner aujourd'hui leurs membres pour qu'elles puissent se tenir avant le Congrès. Cela permettra de les réunir dans de meilleures conditions et aux camarades qui en sont membres de pouvoir assister à l'intégralité des travaux le 9/11. Les propositions (qui pourront évidemment être modifiées et/ou complétées par notre AG) sont :

  1. Commission des textes : Marc Grassullo (rapporteur), Olivier Munoz, Patrick Rispal.

  2. Commission des candidatures : Miguel Hernandez (rapporteur), Fabrizio Piras, Mickaël Bignotti.

 

    J’en viens donc aux questions de candidatures. La commission va avoir beaucoup de travail puisque nous allons devoir renouveler notre Comité de Section, notre ou nos représentant(s) au Conseil Départemental, savoir si nous voulons envoyer un ou des camarade(s) au Conseil National, élire une nouvelle Commission de Contrôle Financier et présenter une délégation pour le Congrès Départemental.

    Pour information, notre CS est composé actuellement de 13 camarades, et la CCF de 3 memnbres. Nous avons un représentant au CD (moi-même), aucun au CN.

    Comme je le disais plus haut, le vote sur les textes a montré que, dans la Fédération de Paris, nous sommes la 2ème plus importante section ; au niveau national, nous sommes certainement la plus importante section d’entreprise. Avec 1 représentant au CD et aucun au CN, nous n’apportons pas dans les collectifs de direction de notre Parti au niveau de notre poids. Un effort particulier est à engager en ce sens, d’autant plus avec le texte 3 pour Base Commune, qui donne une responsabilité particulière aux sections d’entreprise.

    Le CS qui s’est réuni la semaine dernière a pensé qu’il s’agit d’une question importante et veut aider la commission des candidatures et notre Congrès à identifier des camarades à proposer dans ces diverses instances de direction du Parti. La commission des candidatures pour le Congrès parisien s’est tenue mardi, j’y ai exprimé cet état d’esprit pour notre section et tous les camarades de la commission ou les représentants des sections locales trouvaient bien que nous ayons cette préoccupation et ont dit vouloir l’appuyer.

    Si des camarades souhaitent participer dans ces structures (CS, CD, CN, CCF), un appel à candidature est bien sûr ouvert et j’invite les camarades intéressés pour travailler dans ces structures à se mettre en lien avec la commission des candidatures telle qu'elle sera validée aujourd’hui.

    Notre délégation pour le Congrès départemental devrait être de 12 camarades. Il faudra bien sûr voir parmi les camarades présents au Congrès de Section pour qu’ils et elles puissent porter la voix des camarades réunis le 9 Novembre. Cette délégation pourrait également comporter un ou quelques jeunes camarades de la section car un Congrès fédéral est toujours un moment formateur. Si nous le validons, je propose que la Commission travaille en ce sens.

     

    J’ai parlé trop longuement, je vous laisse donc la parole sur ces sujets.